Citations du monde

Hilarion a écrit:Un maître est un homme qui est devenu pareil à un enfant, qui est entré dans l’OEil du Triangle dans le Carré au milieu des Sept, et qui, au prix d’un travail acharné de l’âme, a obtenu sa Robe d’Immortalité, qu’il doit conserver sans souillure, non par peur des taches, mais de crainte que la boue lancée vers cette robe ne se retourne contre l’agresseur.

L''Atalante fugitive a écrit:Qui  n’a  pas  encore  erré  n’a  pas encore  commencé,  et  les  erreurs  sont  les  maîtres  qui enseignent  ce  que  l’on  doit  faire  ou  non. 

Georgius a écrit:L'aristocratie est l'ensemble des citoyens qui l'emportent par leur savoir, par leur influence, par leur fortune, par leurs souvenirs de famille qui sont une garantie [...] Il ne peut y avoir d'aristocratie sans noblesse proprement dite, mais il ne peut pas exister de noblesse sans aristocratie.

Bertrand Goujon

Georgius a écrit:Au moment où j'ai recopié cette citation, je pensais plutôt à la véritable Hiérarchie.

Je me disais qu'une conscience qui devient noble en cultivant de hautes vertus, accède à une sorte d'aristocratie.

C'est juste ça que je voulais mettre en lumière.

Je ne pensais pas du tout aux aristocrates autoproclamés qui ont mis à feu et à sang l'Europe.

anonyme a écrit:"L'humilité n"est en elle même rien d'autre que la vraie connaissance et le sentiment vrai, pour l'homme, de ce qu'il est en soi-même.
Car, bien assurément, qui peut se voir soi-même en vérité et sentir ce qu'il est, en vérité celui-là sera humble."

Jean-Christian Petitfils a écrit:C'était une forme de sociabilité nobiliaire que de se regrouper en réseaux d'amitiés : cousinages, camaraderies de collège et de combat, compagnonnages, affinités diverses, rencontres de voisinage constituaient pour un gentilhomme un réseau d'interdépendance dans lequel on s'insérait dès sa naissance, se mariait et qui lui permettait de soutenir, voire d'accroître la réputation de sa maison. De façon générale, ces chaines de solidarité, ces systèmes réticulaires, mettaient en relation trois types de personnes : le patron, le client et le coursier. Comme au temps de Cicéron, le patron est l'homme qui aide son client, au besoin l'habille, le nourrit, l'héberge, lui procure un emploi, lui prête ou lui donne de l'argent pour acheter une charge, le pousse dans son ascension sociale, le défend contre ses adversaires. Parfois, c'est lui qui organise son mariage, élève ou case ses enfants. Ce patron est, sinon un homme riche, du moins quelqu'un d'influent, capable d'intervenir en faveur de son protégé en le recommandant à de plus puissants que lui. En échange de cette protection et des bienfaits reçus, le client doit servir son patron avec docilité et loyauté, l'aider à atteindre son but, par exemple en lui fournissant des informations, en le servant par la plume ou l'épée, en adoptant ses inclinations, ses ambitions, et parfois en le suivant dans l'adversité. La relation patron/client repose sur la réciprocité des services. L'absence de réciprocité peut être source de rupture, de trahison, d'ingratitude.

La Doctrine secrète a écrit:Rappelez-vous que...  "si  le  savoir  peut  habiter  les cerveaux qui se nourrissent des pensées des autres, la Sagesse ne s'obtient qu'en examinant celles qui naissent en nous..."

W.Q.Judge a écrit:«  La voie de la paix intérieure consiste à se conformer en toutes choses aux décrets et aux dispositions de la Volonté Divine. Ceux qui voudraient que tout réussisse et se passe selon leur propre caprice ne sont pas près de connaître cette voie : et c'est pourquoi ils mènent une vie rude et amère ; constamment agités et de mauvaise humeur, ils ne suivent pas le sentier de la paix. »

Sachez donc bien que celui qui cherche la voie cachée ne peut la trouver qu'en passant la porte de la vie. Dans le cœur de tous les êtres, s'éveille à un certain moment le désir de la connaissance. Celui qui pense que son désir sera satisfait comme le petit oiseau dans le nid qui n'a qu'à ouvrir le bec pour recevoir sa nourriture sera vraiment très désappointé.

Jean Paul Sartre a écrit:L'histoire d'une vie, quelle quel soit, est l'histoire d'un échec. Le coefficient d'adversité des choses est tel qu'il faut des années de patience pour obtenir le plus infime résultat.

Georgius a écrit:

Jean Paul Sartre a écrit:L'histoire d'une vie, quelle quel soit, est l'histoire d'un échec. Le coefficient d'adversité des choses est tel qu'il faut des années de patience pour obtenir le plus infime résultat.

Vue dans une biographie de Trotski.

Petit clin d’œil à la randonneuse qui porte des tongs.

Soÿ a écrit:
P.S.
Ma Kanzi,
haut les mains, peau de lapin !!!
t'es habituée à la CAM maintenant ? Hein que oui ? Et tu vas pas le sortir le rouleau à pâtisseries là... dis...

Napoléon Bonaparte a écrit:On gouverne mieux les hommes par leurs vices que par leurs vertus.

Goethe a écrit:Nul n'est plus esclave que celui qui se croit libre sans l'être.

Confucius a écrit:L'homme honorable comprend ce qui est moral, l'homme de peu comprend ce qui est profitable.

Le Bouddha a écrit:

Quel est, ô moines, ce chemin du milieu que le Bouddha a découvert, qui dessille les yeux de l’esprit, qui mène au repos, à la science, à l’illumination, au Nirvâna ?

C’est le chemin sacré, à huit branches, qui s’appelle : foi pure, volonté pure, langage pur, action pure, moyens d’existence purs, application pure, mémoire pure, méditation pure.

Les Upanishad a écrit:

Vous ne pouvez voir Cela qui est le Voyant de la vision ; vous ne pouvez entendre Cela qui est l’Auditeur de l’audition ; vous ne pouvez penser Cela qui est le Penseur de la pensée ; vous ne pouvez connaître Cela qui est le Connaisseur de la connaissance. C’est votre propre Soi qui demeure au dedans de tout ce qui existe, et tout ce qui existe doit périr - sauf Lui.

La Baghavad Gita a écrit:

Tu t’apitoies là où la pitié n’a que faire, et tu prétends parler raison ! Mais les sages ne s’apitoient ni sur qui meurt ni sur qui vit.

Jamais temps où nous n’ayons existé, moi comme toi, comme tous ces princes ; jamais, dans l’avenir ne viendra le jour où les uns et les autres nous n’existions pas.

Asanga a écrit:

Le bodhisattva à chaque instant, pour chaque créature, voudrait fabriquer des mondes aussi nombreux que les grains de sable du Gange et tout remplis des sept joyaux, pour en faire don. Car la tendance du bodhisattva au don est insatiable. Et le bodhisattva est plus joyeux en donnant que les créatures en recevant.