Musique du monde

Netzach a écrit:

Kanzi a écrit:
C'est fou comme la misère à toujours fasciné et fait fantasmer les bourgeois d'une curiosité malsaine...Ce genre de ballade est agréable que dans l'imaginaire. La réalité tue le rêve !  

Ne cherche pas des problèmes là où il n'y en a pas.. tu ne sais rien sur ma situation... Je ne faisais qu'exprimer ma fascination pour la métropole...

J'ai compris que tu m'avais déclaré la guerre  à cause de mes petites phrases machistes et islamophobes... Va donc écouter ton Dieudonné, le pitre antisémite, que tu aimes tant. J'ai plus envie de parler avec toi.

Esprit querelleur disais-tu ???

Oh ! Hé ! Hein ? bon !
Parce qu'à la base...il n'y en avait pas...de problème...?
On ne voit que ce que l'on veux bien voir (point focal d'une conscience) !!!
Ah la fascination et ses tours de magie !

Dans le Sépher de Moïse, chapitre III verset 9, IHÔAH dit à-lui-Adam :
Où-de-toi ? Où t'a porté ta volonté ?

Kanzi a écrit:

Domino a écrit:Ma Kanzi je n'ai pas dit que je ne comprenais rien au texte, j'ai dit que la traduction était trop ardue pour moi, c'est différent. Il y a des tournures de phrases qui sont difficiles à traduire d'une langue à une autre.
Et dans ce cas de figure je préfère m'abstenir plutôt que de faire dans l'à peu près.
J'aime bien cette chanson, et j'ai posté le texte avec pour ceux qui comprennent l'anglais. Je n'ai pas tué le chien !
Alors tu peux monter sur tes grands chevaux et en faire une affaire d'état, écrire en plus gros si tu le souhaites, je n'ai pas posté dans le laboratorium mais dans la rubrique "musique du monde". Libre à toi de penser que c'est une erreur scandaleuse et impardonnable. Mais ça reste ton point de vue, pas un règlement. Je l'ai entendu.

Pour rappel, à l'origine, au début, à la source une simple petite question :

Kanzi a écrit:Une traduction peut-être ? Ou bien c'est superflue ? Laughing

Ce qui me fait penser à cette chanson de Dalida... tout ça "pour en arriver là"...
Après mon Domino ne t'indigne pas de la sorte et ne jette pas le BB avec l'eau du bain entre le tout ou rien d'une rive à l'autre, tu fais comme tu veux et comme tu peux et c'est toi qui choisi ! Parce ce que en réalité le fait de traduire ou pas... c'est pas vraiment le problème au fond...dans toute chose ici au dans le labo ou encore ailleurs, il y a le fond et la forme et l'effort que l'on fait pour ajouter sa pierre.
Comme dit la chanson, si le monde nous regarde derrière notre petite fenêtre et que nous ne voyons pas qu'ils nous regardent...Il faut dire aussi que chacun voit le monde à travers sa petite lucarne. A l'impossible nul n'est tenu...

Pour rappel, à l'origine, au début, à la source une simple petite question :

Kanzi a écrit:Une traduction peut-être ? Ou bien c'est superflue ?

Pour rappel une simple réponse:

Domino a écrit:C'est un peu trop ardu pour moi, i am not perfaictli bilingue

Et je ne suis pas bien sûr de la tienne (de traduction). Pour ce qui est du fond, ton agressivité me renvoie à la mienne, bien présente (à mon grand regret), c'est ce que je retiens de cet échange.

Jean Gabin ça me parle plus je trouve ça plus élégant aussi

Domino a écrit:

Kanzi a écrit:

Domino a écrit:Ma Kanzi je n'ai pas dit que je ne comprenais rien au texte, j'ai dit que la traduction était trop ardue pour moi, c'est différent. Il y a des tournures de phrases qui sont difficiles à traduire d'une langue à une autre.
Et dans ce cas de figure je préfère m'abstenir plutôt que de faire dans l'à peu près.
J'aime bien cette chanson, et j'ai posté le texte avec pour ceux qui comprennent l'anglais. Je n'ai pas tué le chien !
Alors tu peux monter sur tes grands chevaux et en faire une affaire d'état, écrire en plus gros si tu le souhaites, je n'ai pas posté dans le laboratorium mais dans la rubrique "musique du monde". Libre à toi de penser que c'est une erreur scandaleuse et impardonnable. Mais ça reste ton point de vue, pas un règlement. Je l'ai entendu.

Pour rappel, à l'origine, au début, à la source une simple petite question :

Kanzi a écrit:Une traduction peut-être ? Ou bien c'est superflue ? Laughing

Ce qui me fait penser à cette chanson de Dalida... tout ça "pour en arriver là"...
Après mon Domino ne t'indigne pas de la sorte et ne jette pas le BB avec l'eau du bain entre le tout ou rien d'une rive à l'autre, tu fais comme tu veux et comme tu peux et c'est toi qui choisi ! Parce ce que en réalité le fait de traduire ou pas... c'est pas vraiment le problème au fond...dans toute chose ici au dans le labo ou encore ailleurs, il y a le fond et la forme et l'effort que l'on fait pour ajouter sa pierre.
Comme dit la chanson, si le monde nous regarde derrière notre petite fenêtre et que nous ne voyons pas qu'ils nous regardent...Il faut dire aussi que chacun voit le monde à travers sa petite lucarne. A l'impossible nul n'est tenu...

Pour rappel, à l'origine, au début, à la source une simple petite question :

Kanzi a écrit:Une traduction peut-être ? Ou bien c'est superflue ?  

Pour rappel une simple réponse:

Domino a écrit:C'est un peu trop ardu pour moi, i am not perfaictli bilingue

Et je ne suis pas bien sûr de la tienne (de traduction). Pour ce qui est du fond, ton agressivité me renvoie à la mienne, bien présente (à mon grand regret), c'est ce que je retiens de cet échange.

Oui mon Domino mais au moins j'aurai essayé....et aussi essayé de donner un sens à tout ça, dans la mesure de mes moyens.

Ceci est une vérité, le "autant que possible" l'est pour le meilleur comme pour le pire.
Mais, mêêêêê...nul n'est tenu à l'impossible.

"We' ve got the world looking in
Our window"
En fait je me demande si cette phrase n'est pas proche dans le sens de "connais toi toi même et tu connaitras l'univers et les Dieux"
Un truc du genre "on obtient le monde en regardant par notre fenêtre intérieure"
Le début de la chanson:
"Angels
Smilin' on my happiness
Danger
'Cause the scene is still a mess
( We can all be blessed )"
Des anges
Sourient devant ma joie
Danger
Car la scène ("le chantier", "l’œuvre"?) est encore en foutoir
(Nous pouvons tous être bénis)

Me laisse penser que c'est le sens qu'il faut lui donner.

Don't stop just yet:
Ne t'arrête pas déjà , pas encore, pas maintenant.

Domino a écrit: "We' ve got the world looking in
Our window"
En fait je me demande si cette phrase n'est pas proche dans le sens de "connais toi toi même et tu connaitras l'univers et les Dieux)"
Un truc du genre "on obtient le monde en regardant par notre fenêtre intérieure"

KOOL daddy cool !!!  

J'ai du mal aussi avec celle-ci je dois dire...

J'aurai tendance à vouloir la traduire ainsi : Nous avons une vision du monde selon le panorama qui s'offre à nous depuis notre fenêtre.
La vision du monde serait donc fonction de notre regard intérieur et ce regard peut donc changer....    

C'est si simply quand on veux bien se pencher un peu à sa fenêtre, on découvre qu'on à des voisins et le panorama peut s'étendre. Non ?

La manière dont je comprend
"We' ve got the world looking in
Our window"

C'est davantage "Le monde entier se presse à notre fenêtre pour voir ce qui s'y passe"
Une manière de définir l'auto-centrage du point de vue...

"Ne t'arrêtes pas, pas encore, le monde entier nous regarde."
Dans la pensée anglo-saxophone on inspire les autres en leur montrant ce qu'on sait faire de mieux, et là ou on aurait tendance à dire par chez nous "mais quel vantard celui-là" ils auraient tendance à le prendre à la "wow ! quelle personne inspirante qui partage librement son point de vue". Cela à peut-être également à voir avec le fait que les anglo-saxons ne sont pas des latins et qu'il sont de base plus réservés (comme par exemple lorsqu'on parle du flegme anglais.)

Tu as peut-être raison mon Nurash, c'est le "we've got" qui me gêne dans ta proposition. Mais c'est peut-être une tournure de phrase que je ne connais tout simplement pas.

Kanzi a écrit:C'est si simply quand on veux bien se pencher un peu à sa fenêtre, on découvre qu'on à des voisins et le panorama peut s'étendre. Non ?

sûrement

Nurash a écrit:La manière dont je comprend
"We' ve got the world looking in
Our window"

C'est davantage "Le monde entier se presse à notre fenêtre pour voir ce qui s'y passe"
Une manière de définir l'auto-centrage du point de vue...

"Ne t'arrêtes pas, pas encore, le monde entier nous regarde."
Dans la pensée anglo-saxophone on inspire les autres en leur montrant ce qu'on sait faire de mieux, et là ou on aurait tendance à dire par chez nous "mais quel vantard celui-là" ils auraient tendance à le prendre à la "wow ! quelle personne inspirante qui partage librement son point de vue". Cela à peut-être également à voir avec le fait que les anglo-saxons ne sont pas des latins et qu'il sont de base plus réservés (comme par exemple lorsqu'on parle du flegme anglais.)

Oui je pense que cela est plus proche de la traduction du texte. Ce qui revient au même finalement, dans le sens qu'on lui donne, à savoir l'auto centrage du point de vue comme tu le décris (point focal de l'attention).

Nurash a écrit:Donc oui au final je pense que tu as raison, l'important restant l'enigme de l'Amour et pour la comprendre cette énigme, il y a fort à parier qu'il faut devenir un avec elle .

De là où je me tiens mon Nurash, sa vibration ressemble à ça...

Eléa a écrit:

Nurash a écrit:Donc oui au final je pense que tu as raison, l'important restant l'enigme de l'Amour et pour la comprendre cette énigme, il y a fort à parier qu'il faut devenir un avec elle .

De là où je me tiens mon Nurash, sa vibration ressemble à ça...

Etant fort limité dans mon vocabulaire (bon c'est vrai pas seulement...), je dirais simplement que c'est beau l'Amour !!! Emporté par la vibration, c'est comme un voyage qui élève dans l'espace laissant à terre tout ce qu'il y a de lourd et d'épais.

Kanzi a écrit:

Eléa a écrit:

Nurash a écrit:Donc oui au final je pense que tu as raison, l'important restant l'enigme de l'Amour et pour la comprendre cette énigme, il y a fort à parier qu'il faut devenir un avec elle .

De là où je me tiens mon Nurash, sa vibration ressemble à ça...

Etant fort limité dans mon vocabulaire (bon c'est vrai pas seulement...), je dirais simplement que c'est beau l'Amour !!! Emporté par la vibration, c'est comme un voyage qui élève dans l'espace laissant à terre tout ce qu'il y a de lourd et d'épais.

Avec quelques mots, et en essayant de ne pas briser la magie...

L'Amour
accompagne dans l'éveil, le déploiement, la manifestation de tonalités harmoniques inédites
ouvre des dimensions d'épure inconnues
transcende vers l'unité qui sublime, libère et ne corrompt pas
conduit à l'abandon, Don de Soi, perspective de pure énergie unifiée, et sa toute puissance lumineuse

Eléa a écrit:

Kanzi a écrit:

Eléa a écrit:

Nurash a écrit:Donc oui au final je pense que tu as raison, l'important restant l'enigme de l'Amour et pour la comprendre cette énigme, il y a fort à parier qu'il faut devenir un avec elle .

De là où je me tiens mon Nurash, sa vibration ressemble à ça...

Etant fort limité dans mon vocabulaire (bon c'est vrai pas seulement...), je dirais simplement que c'est beau l'Amour !!! Emporté par la vibration, c'est comme un voyage qui élève dans l'espace laissant à terre tout ce qu'il y a de lourd et d'épais.

Avec quelques mots, et en essayant de ne pas briser la magie...

L'Amour
accompagne dans l'éveil, le déploiement, la manifestation de tonalités harmoniques inédites
ouvre des dimensions d'épure inconnues
transcende vers l'unité qui sublime, libère et ne corrompt pas
conduit à l'abandon, Don de Soi, perspective de pure énergie unifiée, et sa toute puissance lumineuse

Bien au contraire ma Eléa, tu ne la brises pas tu la rend plus sublime encore. Je te trouve très inspirée !!!

Il est de ces envolées lyriques qui dépassent la pensée habituelle et morne. Parmi ces rivages lointain que l'on espère voir un jour poindre à l'horizon, quelques plumes volent et semblent vouloir nous indiquer le chemin. C'est un lent transport à vol d'oiseau, comme une liaison entre deux soleils qui laissent apercevoir l'aube d'un jour nouveau. Une découverte à soi, une renaissance de chaque instant fasciné par la langueur du moment. Comme lorsqu'une voute, un plafond de verre, se brise et que ses fragments tombent vers le haut, l'être se dissout, s'élève, s'envole en poussière d'étoile vers le haut... Toujours vers le haut...
Quelle rupture de voir les limites s'étioler entre soi et le reste, en contemplant la même énergie infinie, fasciné par ses milles variations au couleurs trop vraies pour être un rêve.
Ah comme les mots seront toujours bien trop petits pour exprimer les transports de l'âme...

Magnifique
Merci pour le partage, Eléa.

A part le synthé en arrière plan, tous les sons sont vocaux et proviennent d'une seule et même personne. (un homme)

Je suis toujours sidéré de voir à quel point la musique peut, lorsque nous nous laissons pénétrer par elle, nous transmettre de puissantes vibrations capables d'ébranler notre enveloppe émotionnelle dans ses plus intimes fondements.

Alors je ne peux qu'imaginer, non sans hâte, à quel point la musique céleste, harmonieuse à la perfection, peut nous ébranler dans notre enveloppe spirituelle, tant elle est belle et juste.

Je ressent une vague nostalgie à l'écoute de ce morceau, un truc qui me dit "faut aller plus loin gamin".

Emancipate yourself from mental slavery.
None but ourselve can free ourmind

Emancipe-toi de l'esclavage mental ! (comme autant de chaînes invisibles qui te tiennent captif...)
Aucun autre que toi ne peut libérer ton esprit ( ...de la pensée des autres)

Vasanakshaya a écrit:Je suis toujours sidéré de voir à quel point la musique peut, lorsque nous nous laissons pénétrer par elle, nous transmettre de puissantes vibrations capables d'ébranler notre enveloppe émotionnelle dans ses plus intimes fondements.

Alors je ne peux qu'imaginer, non sans hâte, à quel point la musique céleste, harmonieuse à la perfection, peut nous ébranler dans notre enveloppe spirituelle, tant elle est belle et juste.

Lisa Gerrard... forcément... si tu sors ma voix préférée... je ne peux que craquer !!!

J'en profite, puisque nous en parlons, ou probablement nous en parlerons si nous continuons d'avancer sur le thème de l'intrication quantique...

J'en profite donc pour nous offrir l'idée de sacrifice
surtout quand cette idée du sacrifice même est sacrifiée
pour devenir autre chose :
une sublimation
...
le tout, sous la vibrante voix de Lisa
...