Re: Citations du monde

par Chris Al-kīmiyā Mer 3 Aoû - 23:35

Confucius a écrit:« Celui chez qui les qualités naturelles l’emportent sur la politesse des manières et du langage est un homme agreste. Celui chez qui la politesse des manières et du langage l’emporte sur les vertus intérieures est comme un copiste de tribunal. Celui qui possède à un égal degré la vertu et la politesse est un homme honorable. »

par Kanzi Sam 6 Aoû - 12:24

"Il ne m’appartient pas le droit de décider de vivre ou de mourir, seul m’appartient le droit de lutter."

"Je n’ai aucun pouvoir sur les autres, je leur montre seulement les valeurs qu’ils portent en eux et qu’ils ne voient pas."

"L’humanité a plus besoin d’amour que d’ intelligence."

"Nous devenons ce dont nous rêvons."

Maurice Daubard (Yogi de l'extrême).

par Chris Al-kīmiyā Lun 8 Aoû - 12:33

Confucius a écrit:Je ne me plains pas du Ciel et n’accuse pas les hommes. je m’applique à l’étude de la sagesse, commençant par les principes fondamentaux, et avançant par degrés.

par Chris Al-kīmiyā Mer 10 Aoû - 7:30

Philippe de Lyon a écrit:— La souffrance est la nourriture de l’âme comme le froment est la nourriture du corps.
— Nous sommes sur la terre pour travailler et être travaillés par les ennuis, par les adversités. Il faut que nous laissions sur la terre l’orgueil, l’envie et l’égoïsme. Toutes les molécules de notre corps doivent se purifier par la souffrance.
— C’est aux vents de la montagne et de la mer que croissent les fleurs les plus robustes et, parmi les épines des buissons, se trouvent les fleurs délicates. Je crois qu’il faut aussi l’air des adversités et les ronces du chemin de la vie pour pétrir de force et de sensibilité notre coeur.

par **Lug** Mer 10 Aoû - 12:07

Chris Al-kīmiyā a écrit:
Philippe de Lyon a écrit:— La souffrance est la nourriture de l’âme comme le froment est la nourriture du corps.
— Nous sommes sur la terre pour travailler et être travaillés par les ennuis, par les adversités. Il faut que nous laissions sur la terre l’orgueil, l’envie et l’égoïsme. Toutes les molécules de notre corps doivent se purifier par la souffrance.
— C’est aux vents de la montagne et de la mer que croissent les fleurs les plus robustes et, parmi les épines des buissons, se trouvent les fleurs délicates. Je crois qu’il faut aussi l’air des adversités et les ronces du chemin de la vie pour pétrir de force et de sensibilité notre coeur.

Philippe de Lyon n’a pas dit que des conneries, mais pour le coup, cette citation en contient quelques-unes.

La souffrance est une des nourritures de la Conscience ignorante, mais certainement pas de l’âme.

C’est une des nourritures, car lorsque la Conscience accède à la sagesse, elle n’a aucun besoin de souffrance pour évoluer, puisqu’elle ne s’alimente que de Connaissances, c’est pourquoi le sage finit toujours par s’affranchir de la souffrance (voir l'exemple du Bouddha).

Mais comme le dit l’adage : à quoi bon donner des roses à un âne lorsque des ronces suffisent. Very Happy

par Chris Al-kīmiyā Mer 10 Aoû - 13:39

Lug a écrit:
Chris Al-kīmiyā a écrit:
Philippe de Lyon a écrit:— La souffrance est la nourriture de l’âme comme le froment est la nourriture du corps.
— Nous sommes sur la terre pour travailler et être travaillés par les ennuis, par les adversités. Il faut que nous laissions sur la terre l’orgueil, l’envie et l’égoïsme. Toutes les molécules de notre corps doivent se purifier par la souffrance.
— C’est aux vents de la montagne et de la mer que croissent les fleurs les plus robustes et, parmi les épines des buissons, se trouvent les fleurs délicates. Je crois qu’il faut aussi l’air des adversités et les ronces du chemin de la vie pour pétrir de force et de sensibilité notre coeur.

Philippe de Lyon n’a pas dit que des conneries, mais pour le coup, cette citation en contient quelques-unes.

La souffrance est une des nourritures de la Conscience ignorante, mais certainement pas de l’âme.

C’est une des nourritures, car lorsque la Conscience accède à la sagesse, elle n’a aucun besoin de souffrance pour évoluer, puisqu’elle ne s’alimente que de Connaissances, c’est pourquoi le sage finit toujours par s’affranchir de la souffrance (voir l'exemple du Bouddha).

Mais comme le dit l’adage : à quoi bon donner des roses à un âne lorsque des ronces suffisent.

Merci pour l'éclairage mon Lug Very Happy

par Chris Al-kīmiyā Mer 10 Aoû - 14:56

Lug a écrit: La souffrance n'est soluble que sur la voie de l'évolution qui seule apporte sagesse, paix profonde, sérénité et extase, mais ces inestimables trésors se méritent.

Suicide mode d'emploi

par Kanzi Sam 13 Aoû - 13:17

OEdipe Roi a écrit:
Ah ! fasse le Destin que toujours je conserve la sainte Pureté dans tous mes mots, dans tous mes actes.
Les lois qui leur commandent siègent dans les hauteurs : elles sont nées dans le céleste éther,
et l'Olympe est leur seul père ;
aucun être mortel ne leur donna le jour ; jamais l'oublie ne les endormira : un dieu puissant est en elles, un dieu qui ne vieillit pas.
La démesure enfante le tyran. Lorsque le démesure s'est gavée follement,
sans souci de l'heure ni de de son intérêt,
et lorsqu'elle est montée au plus haut, sur le faîte, la voilà soudain qui s'abîme dans un précipice fatal,
où dès lors ses pieds brisés se refusent à la servir.

par **Lug** Sam 13 Aoû - 17:38

OEdipe Roi a écrit:
Ah ! fasse le Destin que toujours je conserve la sainte Pureté dans tous mes mots, dans tous mes actes.

Pas étonnant qu'il ait tout foiré l'OEdipe. Au lieu du Destin, il aurait mieux fait de s'adresser à la Divine Providence, ça lui aurait évité d'avoir un complexe. Very Happy

par Le Moinetagnard Mer 24 Aoû - 11:43

Chris Al-kīmiyā a écrit:
Lug a écrit:
Chris Al-kīmiyā a écrit:
Philippe de Lyon a écrit:— La souffrance est la nourriture de l’âme comme le froment est la nourriture du corps.
— Nous sommes sur la terre pour travailler et être travaillés par les ennuis, par les adversités. Il faut que nous laissions sur la terre l’orgueil, l’envie et l’égoïsme. Toutes les molécules de notre corps doivent se purifier par la souffrance.
— C’est aux vents de la montagne et de la mer que croissent les fleurs les plus robustes et, parmi les épines des buissons, se trouvent les fleurs délicates. Je crois qu’il faut aussi l’air des adversités et les ronces du chemin de la vie pour pétrir de force et de sensibilité notre coeur.

Philippe de Lyon n’a pas dit que des conneries, mais pour le coup, cette citation en contient quelques-unes.

La souffrance est une des nourritures de la Conscience ignorante, mais certainement pas de l’âme.

C’est une des nourritures, car lorsque la Conscience accède à la sagesse, elle n’a aucun besoin de souffrance pour évoluer, puisqu’elle ne s’alimente que de Connaissances, c’est pourquoi le sage finit toujours par s’affranchir de la souffrance (voir l'exemple du Bouddha).

Mais comme le dit l’adage : à quoi bon donner des roses à un âne lorsque des ronces suffisent.
Merci pour l'éclairage mon Lug

Cher Chris Al-kīmiyā

Ce n'est pas un éclairage mais un dévoiement. Dévoiement fréquent depuis l'influence des orientalismes sur la Fraternité d'Hermès, au point de négliger ce qui en fut l'origine, la Tradition Occidentale. L'éclairage, ou au moins sa tentative aurait cherché à comprendre d'abord pourquoi M. Philippe dit une telle chose selon son système de croyance à lui, avant de tenter de l'apparenter avec une autre voie et forcément de constater que cela ne colle pas.

C'est que te dis et anticipes, le Lug dans son adage, un peu en crypté: a quoi bon vouloir donner le véritable éclairage R+ (rose, et croix pour celle de Saint André sur le dos de l'âne) au sujet de la pensée de M. Philippe, alors que la nourriture communes et vulgaire suffit pour que tu le remercies, et pour que tu n'apprennent pas ce que ce Monsieur aurait pu vouloir te témoigner de Sa présence.

Par exemple ceci en provenance de l'Hortulus Sacer*

Je parlerai bien encore de l'Imitation si chère à cet héritié des fils du tonnerre que tu cites, ainsi que de la raison qui fut la sienne pour citer le froment, ce "bon grain" séparé et placé au sein de l'Arche, ou encore comment le froment de notre Ame est le Christ souffrant pour la rédemption de l'humanité.

*L'Hortulus Sacer est un recueil de poèmes latins, insérés à la suite de certaines éditions du livre " Le Mystère de la Croix de Jésus-Christ et de ses Membres " par un " Disciple de la Croix de Jésus " dont l'anonymat cacherait la personnalité d'un hermétiste chrétien du nom de Douzetemps ou Dauzedan.

par Chris Al-kīmiyā Mer 24 Aoû - 13:34

Le Moinetagnard a écrit:
Chris Al-kīmiyā a écrit:
Lug a écrit:
Chris Al-kīmiyā a écrit:
Philippe de Lyon a écrit:— La souffrance est la nourriture de l’âme comme le froment est la nourriture du corps.
— Nous sommes sur la terre pour travailler et être travaillés par les ennuis, par les adversités. Il faut que nous laissions sur la terre l’orgueil, l’envie et l’égoïsme. Toutes les molécules de notre corps doivent se purifier par la souffrance.
— C’est aux vents de la montagne et de la mer que croissent les fleurs les plus robustes et, parmi les épines des buissons, se trouvent les fleurs délicates. Je crois qu’il faut aussi l’air des adversités et les ronces du chemin de la vie pour pétrir de force et de sensibilité notre coeur.

Philippe de Lyon n’a pas dit que des conneries, mais pour le coup, cette citation en contient quelques-unes.

La souffrance est une des nourritures de la Conscience ignorante, mais certainement pas de l’âme.

C’est une des nourritures, car lorsque la Conscience accède à la sagesse, elle n’a aucun besoin de souffrance pour évoluer, puisqu’elle ne s’alimente que de Connaissances, c’est pourquoi le sage finit toujours par s’affranchir de la souffrance (voir l'exemple du Bouddha).

Mais comme le dit l’adage : à quoi bon donner des roses à un âne lorsque des ronces suffisent.
Merci pour l'éclairage mon Lug
Cher Chris Al-kīmiyā

Ce n'est pas un éclairage mais un dévoiement. Dévoiement fréquent depuis l'influence des orientalismes sur la Fraternité d'Hermès, au point de négliger ce qui en fut l'origine, la Tradition Occidentale. L'éclairage, ou au moins sa tentative aurait cherché à comprendre d'abord pourquoi M. Philippe dit une telle chose selon son système de croyance à lui, avant de tenter de l'apparenter avec une autre voie et forcément de constater que cela ne colle pas.

C'est que te dis et anticipes, le Lug dans son adage, un peu en crypté: a quoi bon vouloir donner le véritable éclairage R+ (rose, et croix pour celle de Saint André sur le dos de l'âne) au sujet de la pensée de M. Philippe, alors que la nourriture communes et vulgaire suffit pour que tu le remercies, et pour que tu n'apprennent pas ce que ce Monsieur aurait pu vouloir te témoigner de Sa présence.

Par exemple ceci en provenance de l'Hortulus Sacer*

Je parlerai bien encore de l'Imitation si chère à cet héritié des fils du tonnerre que tu cites, ainsi que de la raison qui fut la sienne pour citer le froment, ce "bon grain" séparé et placé au sein de l'Arche, ou encore comment le froment de notre Ame est le Christ souffrant pour la rédemption de l'humanité.

*L'Hortulus Sacer est un recueil de poèmes latins, insérés à la suite de certaines éditions du livre " Le Mystère de la Croix de Jésus-Christ et de ses Membres " par un " Disciple de la Croix de Jésus " dont l'anonymat cacherait la personnalité d'un hermétiste chrétien du nom de Douzetemps ou Dauzedan.

Merci pour tes indications mon Moinetagnard, mais sache que je ne suis pas une brebis égarée ni même un larbin qui prend pour argent comptant tout ce qu'on lui dit. Je suis un esprit libre et rebelle qui ne cherche aucunement à appartenir à une religion ou à une quelconque tradition, j'utilise autant que possible mon libre arbitre et je n'ai pas besoin qu'on me dise ce que je dois penser. En gros je pense ce que je veux , je dis ce que je veux et je fais ce que je veux et j'en assume les conséquences, tout en ayant pour objectif de me perfectionner jour après jour, sur le chemin de l'Amour de l'Intelligence et de la Sagesse.

par **Lilbudha** Mer 24 Aoû - 14:14

C. S. Lewis dans l'abolition de l'homme a écrit:Ce n’est pas un excès de réflexion qui les caractérise [les pédagogues semi-cultivés modernes], mais l’absence d’émotions fructueuses et généreuses. Ils n’ont pas la tête plus importante que celle de l’homme ordinaire: c’est leur torse atrophié par l’absence d’un grand cœur qui la fait paraître telle. Et pendant ce temps-là — tel est le côté tragicomique de notre situation — nous ne cessons de réclamer à cor et à cri les qualités mêmes que nous rendons impossibles. Il est devenu pratiquement vain d’ouvrir un périodique sans tomber sur des articles affirmant que notre civilisation a besoin de plus d’énergie, ou de dynamisme, ou d’esprit de sacrifice, ou de créativité. Avec une sorte de naïveté épouvantable, nous extirpons l’organe et exigeons la fonction. Nous faisons des hommes sans cœur et attendons d’eux vertu et hardiesse. Nous tournons l’honneur en dérision et sommes choqués de trouver des traîtres parmi nous. Nous châtrons et exigeons des hongres qu’ils soient féconds.

par Kanzi Mer 24 Aoû - 21:09

Chris Al-kīmiyā a écrit:
Le Moinetagnard a écrit:
Chris Al-kīmiyā a écrit:
Lug a écrit:
Chris Al-kīmiyā a écrit:
Philippe de Lyon a écrit:— La souffrance est la nourriture de l’âme comme le froment est la nourriture du corps.
— Nous sommes sur la terre pour travailler et être travaillés par les ennuis, par les adversités. Il faut que nous laissions sur la terre l’orgueil, l’envie et l’égoïsme. Toutes les molécules de notre corps doivent se purifier par la souffrance.
— C’est aux vents de la montagne et de la mer que croissent les fleurs les plus robustes et, parmi les épines des buissons, se trouvent les fleurs délicates. Je crois qu’il faut aussi l’air des adversités et les ronces du chemin de la vie pour pétrir de force et de sensibilité notre coeur.

Philippe de Lyon n’a pas dit que des conneries, mais pour le coup, cette citation en contient quelques-unes.

La souffrance est une des nourritures de la Conscience ignorante, mais certainement pas de l’âme.

C’est une des nourritures, car lorsque la Conscience accède à la sagesse, elle n’a aucun besoin de souffrance pour évoluer, puisqu’elle ne s’alimente que de Connaissances, c’est pourquoi le sage finit toujours par s’affranchir de la souffrance (voir l'exemple du Bouddha).

Mais comme le dit l’adage : à quoi bon donner des roses à un âne lorsque des ronces suffisent.
Merci pour l'éclairage mon Lug
Cher Chris Al-kīmiyā

Ce n'est pas un éclairage mais un dévoiement. Dévoiement fréquent depuis l'influence des orientalismes sur la Fraternité d'Hermès, au point de négliger ce qui en fut l'origine, la Tradition Occidentale. L'éclairage, ou au moins sa tentative aurait cherché à comprendre d'abord pourquoi M. Philippe dit une telle chose selon son système de croyance à lui, avant de tenter de l'apparenter avec une autre voie et forcément de constater que cela ne colle pas.

C'est que te dis et anticipes, le Lug dans son adage, un peu en crypté: a quoi bon vouloir donner le véritable éclairage R+ (rose, et croix pour celle de Saint André sur le dos de l'âne) au sujet de la pensée de M. Philippe, alors que la nourriture communes et vulgaire suffit pour que tu le remercies, et pour que tu n'apprennent pas ce que ce Monsieur aurait pu vouloir te témoigner de Sa présence.

Par exemple ceci en provenance de l'Hortulus Sacer*

Je parlerai bien encore de l'Imitation si chère à cet héritié des fils du tonnerre que tu cites, ainsi que de la raison qui fut la sienne pour citer le froment, ce "bon grain" séparé et placé au sein de l'Arche, ou encore comment le froment de notre Ame est le Christ souffrant pour la rédemption de l'humanité.

*L'Hortulus Sacer est un recueil de poèmes latins, insérés à la suite de certaines éditions du livre " Le Mystère de la Croix de Jésus-Christ et de ses Membres " par un " Disciple de la Croix de Jésus " dont l'anonymat cacherait la personnalité d'un hermétiste chrétien du nom de Douzetemps ou Dauzedan.

Merci pour tes indications mon Moinetagnard, mais sache que je ne suis pas une brebis égarée ni même un larbin qui prend pour argent comptant tout ce qu'on lui dit. Je suis un esprit libre et rebelle qui ne cherche aucunement à appartenir à une religion ou à une quelconque tradition, j'utilise autant que possible mon libre arbitre et je n'ai pas besoin qu'on me dise ce que je dois penser. En gros je pense ce que je veux , je dis ce que je veux et je fais ce que je veux et j'en assume les conséquences, tout en ayant pour objectif de me perfectionner jour après jour, sur le chemin de l'Amour de l'Intelligence et de la Sagesse.

L' Amour suppose qu'il faille savoir laisser une place pour l'autre, pour la différence. Cela se conçoit au niveau de la pensée. Ma Chris, si tu es libre de penser ce que tu veux et dire ce que tu veux (alors que bien souvent on pense et on fait ce qu'on peut plus que ce que l'on veux) et que tu t'octroies cette liberté tu te dois également de l'accorder à celui ou celle qui pense différemment de toi et qui ose l'exprimer.
Le père Philippe ou le Maître comme l'appelaient certains n'a pas dit que des conneries, certes sa vocation n'était pas de développer comme ici... il était avant tout un grand Thaumaturge et il s'adressait à des gens de son époque, dans un langage simple et adapté.
Ce qui n'enlève en rien la justesse et la finesse que relève notre Lug.
le chemin de l'Amour, de l'Intelligence et de la Sagesse n'est pas de dire et de conclure je fais ce que je veux et j'emmerde tout le monde. Il me semble quand même que ta réaction est juste une réaction....

par Chris Al-kīmiyā Mer 24 Aoû - 22:45

Excuse moi ma Kanzi, mais ton ressentie déforme quelque peu mon propos, je n'ai jamais écrit que j'emmerde tout le monde. J'ai juste répondu à notre Moinetagnard qui me soulignait, que l'indication de notre Lug n'était pas pour lui un éclairage mais un dévoiement. C'est son avis et je le respecte mais je ne vois pas en quoi ça me concerne, perso je préfère me sculpter mon propre avis. En ce qui concerne cette histoire de je fais ce que je veux, c'était surtout dans le sens, j'utilise ma volonté pour être le plus possible juste de Pensée, juste de Parole et juste d'Action.

par **Lug** Jeu 25 Aoû - 11:03

Nicholas Goodrick-Clarke a écrit:
« List était attiré par les idées de Giordano Bruno…Bruno avait proclamé que le judaïsme et le christianisme avaient corrompus l’ancienne et véritable religion…qui avait acquis une grande popularité parmi les néo-platoniciens de la Renaissance. Bruno souhaitait aussi une nouvelle dérogation basée sur une redécouverte de l’ancienne gnose. »

- Les racines occultes du Nazisme, 1992

par **Lug** Jeu 25 Aoû - 11:06

Guido Von List a écrit:
L’Ancien Testament n’est pas un récit juste de l’histoire humaine ; au contraire, l’Ancien Testament a été surimposé sur l’histoire humaine. Comme l’Europe et l’occident ont de tout cœur accepté la Bible, comme si elle était l’héritage de toute l’humanité (et pas seulement l’histoire d’un petit groupe, les Hébreux), les occidentaux ont échoué à reconnaître une histoire bien plus grande, et une sagesse bien plus spirituelle

par fred2 Ven 26 Aoû - 9:57

Annie Besant, Réincarnation a écrit:
Les Sages écoutent plus volontiers ceux dont les habitudes de pensées sont les plus différentes des leurs, sachant qu'ainsi ils peuvent par hasard saisir une lueur de quelque nouvel aspect de la vérité, au lieu de voir une fois de plus la simple réflexion d'un aspect déjà familier. Pour les hommes, les mœurs, les traditions propres à chaque race, le milieu ambiant constituent des verres colorés à travers lesquels ils regardent le soleil de la vérité ; chaque verre prête sa teinte au rayon solaire, et le rayon blanc est transmis comme rayon rouge, ou bleu, ou jaune – à leur gré. Comme nous ne pouvons pas nous débarrasser du verre et saisir la radiation pure, incolore, nous agissons sagement en combinant les rayons colorés afin d'obtenir ainsi la radiation blanche.

par Le Moinetagnard Ven 26 Aoû - 12:58

Jean 10:33-34 a écrit:Les Juifs lui répondirent: Ce n'est point pour une bonne oeuvre que nous te lapidons, mais pour un blasphème, et parce que toi, qui es un homme, tu te fais Dieu.

Jésus leur répondit: N'est-il pas écrit dans votre loi: J'ai dit: Vous êtes des dieux?

Psaume 82 a écrit:…J'avais dit: Vous êtes des dieux, Vous êtes tous des fils du Très-Haut.

par Kanzi Dim 4 Sep - 15:02

Apollonius de Tiane a écrit:
Comme ils étaient sur le sommet du Caucase, et marchaient à pied à cause des précipices qui bordaient la route, Apollonius dit à Damis:

« Dites-moi, Damis, où étions-nous hier?

- Dans la plaine.

- Aujourd'hui, où, sommes-nous?

- Sur le Caucase, si je ne me trompe.

- Quand étiez-vous dans l'endroit le plus bas?

- Cela ne se demande pas : hier nous étions dans une vallée, et nous voici près du ciel.

- Ainsi vous pensez, Damis, qu'hier nous étions en bas, et qu'aujourd'hui nous sommes en haut?

- Sans doute, à moins que je n'aie perdu l'esprit.

- Quel est donc, selon vous, la différence des deux routes, et que croyez-vous avoir plus qu'hier?

- C'est qu'hier je marchais dans un chemin battu, et qu'aujourd'hui je marche dans un chemin peu fréquenté.

- Mais, Damis, dans une ville, est-ce que l'on ne peut pas, en s'écartant des grandes rues, marcher dans des chemins peu fréquentés?

- Ce n'est pas ce que je veux dire. Mais hier, nous voyagions au milieu des habitations des hommes, aujourd'hui nous nous élevons dans une région divine, où l'on ne voit guère de trace humaine. Vous entendez ce que nous dit notre guide : c'est, selon les 53 Barbares, le séjour des dieux. »

Et en même temps il levait les yeux vers le sommet de la montagne. Mais Apollonius, le ramenant à ce qu'il avait d'abord voulu lui demander :

« Pouvez-vous, dit-il, Damis, me dire ce que vous avez compris des choses divines, depuis que vous marchez ainsi près du ciel?
- Rien, je l'avoue.

- Quoi ! vous voici près de cette œuvre immense et divine, et vous n'avez pas à émettre d'opinion plus claire sur le ciel, sur le soleil, sur la lune, que vous croyez peut-être pouvoir atteindre du bout de votre bâton !

- Je ne sais rien de plus sur la divinité aujourd'hui qu'hier, et pas une idée nouvelle ne s'est présentée à mon esprit sur ce sujet.
- Alors, Damis, vous êtes toujours dans les basses régions, et il ne vous sert de rien d'être sur ces hauteurs : vous êtes aussi loin du ciel aujourd'hui qu'hier. J'avais donc raison de vous faire la question que je vous faisais tout à l'heure, et que vous avez prise pour une plaisanterie

par Hermaphrodite Mar 6 Sep - 2:12

Le Moinetagnard a écrit:
Jean 10:33-34 a écrit:Les Juifs lui répondirent: Ce n'est point pour une bonne oeuvre que nous te lapidons, mais pour un blasphème, et parce que toi, qui es un homme, tu te fais Dieu.

Jésus leur répondit: N'est-il pas écrit dans votre loi: J'ai dit: Vous êtes des dieux?

Psaume 82 a écrit:…J'avais dit: Vous êtes des dieux, Vous êtes tous des fils du Très-Haut.

Mon Moinetagnard,

à la suite de ces reférences Bibliques, Lug aurait-il donc raison de marteler celle figurant ci-dessous?

Lug a écrit:Comme la Création Divine est parfaite, nous sommes donc tous les enfants égaux en droit d’Amour du Divin Créateur.

par **Lilbudha** Jeu 15 Sep - 13:08

Lug, dans Les Clavicules de la Sapience a écrit:-En vertu de la loi de bipolarisation, s'il y a une Nature concrète, il y a obligatoirement une Nature abstraite. Mais il y en a nécessairement une qui doit sa manifestation temporaire à celle qui ne l'est pas.

-La clarté de la vision spirituelle s'obtient par la pratique de la simplicité et de l'humilité.

-L'orgueil et l'ambition imposent de lourdes charges, l'humilité aucune. Le trajet sera toujours plus agréable pour la mule la moins lestée.

par **Lilbudha** Dim 18 Sep - 1:32

Confucius a écrit:-La joie est en tout ; il faut savoir l'extraire.

-Celui qui ne progresse pas chaque jour, recule chaque jour.

-Si l'homme a deux oreilles et une bouche, c'est pour écouter deux fois plus qu'il ne parle.

-Celui qui plante la vertu ne doit pas oublier de l'arroser souvent.

-Le Dao de l'étude ne consiste en rien d'autre qu'à rectifier son esprit et nourrir sa nature. Être authentique en restant droit dans le Milieu, tel est le Saint. L'homme de bien qui veut apprendre doit d'abord être clair dans son esprit et savoir ce qui est à nourrir, puis mettre toutes ses forces pour parvenir au but, c'est ce qui s'appelle " partir de la clarté pour parvenir à l'authenticité".

Lug dans Les Clavicules de la Sapience a écrit:-L'âme ne développe sa compréhension de l'Universel qu'en sortant de son particularisme terrestre

-L'équilibre de l'harmonie est si délicat, que le poids d'un mot léger comme une plume peut le faire basculer dans le chaos.

par **Lilbudha** Mar 4 Oct - 17:18

Fabre d'Olivet dans Histoire Philosophique du Genre Humain a écrit:C'est précisément à la liberté mentale qu'un événement laisse, qu'on peut reconnaître s'il est providentiel. Plus il est élevé, plus il est libre; plus il est forcé, plus il incline vers la fatalité du Destin

par **Lilbudha** Ven 7 Oct - 19:25

Fabre d'Olivet dans Histoire Philosophique du genre Humain a écrit:D'abord je dirais à ceux qui peuvent l'ignorer, que pour ce qui est de l'Éternité absolue, DIEU seul la possède ; car on ne pourrait admettre deux êtres absolus sans impliquer contradiction. L'éternité que Dieu communique ne peut donc être qu'une éternité relative, dont son Éternité absolue détermine le principe et le mode. Toutes les formes sont dans le domaine du temps ; le temps lui-même n'est que la succession des formes ; les essences seules sont indestructibles parce qu'elles tiennent par leur principe à l'Essence absolue, qui ne saurait jamais passer : car pour concevoir un passage il faut concevoir un espace ; et comment concevoir un espace hors de l'espace absolue ?

par **Lilbudha** Dim 9 Oct - 14:22

Fabre d'Olivet dans Histoire Philosophique du genre Humain a écrit:Il faut donc distinguer la forme de l'essence ; le temps, de l'espace ; et l'éternité relative de l'Eternité absolue. La Forme, le Temps, l'Éternité relative sont des émanations ; l'Essence, l'Espace, l'Éternité absolue, sont des identités divines. Tout ce qui constitue ces identités est immuable ; tout ce qui appartient à ces émanations peut changer. Les formes en se succédant les unes aux autres, enfantent le Temps ; le Temps donne naissance à l'éternité relative ; mais cette éternité; et le temps qui la mesure, et les formes qui la remplissent, s'évanouissent également dans l'Essence qui donne les formes, dans l'Espace qui crée le temps, et dans l'Éternité absolue qui enveloppe l'éternité relative.

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