Pensées du jour 1

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Une Conscience ne peut véritablement redevenir multidimensionnelle, si elle n’est pas capable de remonter dans un passé très antérieur à son actuelle incarnation, elle ne pourra y rechercher les parcelles de la Vérité absolue qui ont été assimilées et rayonnées par de grands initiés, ayant eu la générosité et la sagesse de nous les transmettre.

Sans la reconstitution consciente de cette Mémoire impérissable, il n’est pas possible d’accéder à un niveau suffisant de connaissance des Enseignements de la Sagesse immémoriale. Comme il ne serait pas possible à une tribu primitive d’aujourd’hui de pouvoir rivaliser avec l’accumulation des acquis intellectuels, permettant à notre civilisation d’être supérieurement loufoque, insensée, irresponsable et infiniment polluante...

La Connaissance spirituelle multidimensionnelle de l’Éternel moment Présent, est la synthèse de ce qui sera et de ce qui fut, afin de permettre à une Conscience d’appréhender, selon les limites de son évolution, une plus ou moins grande partie de ce qui éternellement EST présent.

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Les lois de la Providence (Dharma) ne sont véritablement accessibles à la Conscience, que lorsqu’elles sont appréhendées sous forme de Principes multidimensionnels, sinon, ce ne sont que des lois causales (Karma) que perçoit cette même Conscience, même si par égarement et manque de perception juste, elle pense qu’il n’en pas pas ainsi.

[Vasanakshaya]

La science académique encore enseignée aux collèges, lycées et universités, n'est qu'une croyance obsolète vouant son culte à la matière, ayant tout parié sur un univers entièrement causal. Si aucune religion n'est supérieure à la Vérité, aucune croyance ne l'ait.

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Chaque incarnation doit être, pour une Conscience, l'occasion de progressivement se purifier. Cette opportunité qui lui est offerte a pour dessein de lui permettre de retrouver volontairement la source la plus pure de la vérité, dans l'eau de laquelle elle devra s'immerger complètement pour le baptême se sa renaissance.

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Quel que soit l’état chaotique d’une situation collective, la vérité finit toujours par y faire son chemin, et offrir par là même une lueur d’espérance.

La longue Histoire de l’humanité est là pour nous confirmer la justesse de cet immuable principe vital.

[Vasanakshaya]

Certains pays comme le Japon éprouvent le besoin de mettre des robots pour divertir leur population vieillissante, et remplir les espaces d'un semblant de vie. C'est quand même dommage d'avoir à recourir à ce genre d'artifice, dans un univers où chaque millimètre cube est rempli de vie.

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Les réalités subjectives abstraites, qui constituent l’architecture de la Vérité, sont accessibles à toutes les Consciences, selon leur capacité à les percevoir.

S’il y a trop d’instabilité émotionnelle, trop d’emprise de l’ego par excès de suffisance ou de préoccupation de lui-même, s’il y a orgueil, vanité, désespoir ou complexe d’infériorité la perception de ces réalités sera plus ou moins déformée, voire totalement occultée.

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La manifestation d’une pensée révèle son pouvoir bénéfique ou maléfique. Une pensée juste en vertus a des pouvoirs bénéfiques, libérateurs et salvateurs, tandis qu’une pensée ni juste ni vertueuse aura des pouvoirs maléfiques, asservissants et destructeurs.

Les effets de ces pouvoirs bénéfiques ou maléfiques, se produiront autant vis-à-vis des Consciences qui les manifestent, que vis-à-vis des Consciences qui les reçoivent.

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Une Conscience, dans sa présente incarnation, qui devient lumineuse a été nécessairement enfantée par ses incarnations passées. Si elle ne cesse de se nourrir de vérités (connaissances), elle accédera au pouvoir de co-création qui consiste à transmettre la vie par le simple rayonnement du verbe fécondant de ces vérités correctement assimilées.

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Lorsqu’une Conscience ne manipule que des pensées émotionnelles, elle se condamne à n’être que le jouet des illusions, passions et égarements qu’engendrent ces pensées.

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L’unité d’un groupe repose sur la capacité de chacun de ses membres à agir, avec abnégation, désintéressement et de façon impersonnelle, selon le corpus d’enseignements propre à ce groupe, que chaque adhérent volontaire s’impose de mettre systématiquement en pratique, chaque fois que la moindre circonstance lui est offerte.

Cette communauté de partage interne et externe est le plus solide ciment de ce genre de Fraternité d’esprits libres.

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Ce qui fait la qualité fondamentale d’un enseignement, ne réside ni dans la crédibilité de celui qui l’enseigne, ni dans ses origines, mais uniquement dans sa pertinence, sa justesse et l’inspiration qu’il provoque, par sa tonalité vibratoire la plus subtile, chez la Conscience qui le reçoit et s’efforce de l’assimiler, de la mettre à l’épreuve, et ce, pour en faire une connaissance faisant partie de ses valeurs morales.

[nevada]

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Lorsqu’une Conscience ne manipule que des pensées émotionnelles, elle se condamne à n’être que le jouet des illusions, passions et égarements qu’engendrent ces pensées.

L'intelligence qu'elle croit utiliser pour mener à bien une action n'est alors que le fruit de ses propres pensées émotionnelles et vient polluer tout ce qu'il lui serait possible de transmettre si elle s'accompagnait des 4 vertus cardinales.

Je me méfie de cette intelligence qui nous pousse à croire que nos actions sont justes alors qu'il n'en est absolument rien. Se croire au dessus de la moyenne sans avoir mis au préalable chacune de ses pensées sur l'enclume de la contradiction c'est se mentir à soi même, mentir aux autres, rester dans un aspect purement théorique, mais absolument pas pratique.

y a du boulot

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L’intelligence sans connaissance, et l’intuition sans inspiration spirituelle lumineuse sont aux antipodes de la Sagesse.

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Certaines personnes simplistes considèrent que le simple fait de ne pas être vicieux permet d’être vertueux.

Mais ceci n’est rien d’autre qu’une altération de leur faculté de discernement et un manque d'élargissement du sens des responsabilités.

Car il ne suffit pas de ne pas participer à une pratique vicieuse pour prétendre être vertueux. La vertu est toujours une action volontaire positive.

Même si l’on n’est pas directement concerné, ne pas faire tout ce qui est possible pour empêcher le vice de nuire à autrui, c’est se rendre complice passivement de ce vice.

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Pour être juste, une pensée doit être Belle dans son aspect, et pour être vertueuse, elle se doit d’être Bonne dans sa pratique.

Une pensée un peu moins belle serait nécessairement moins bonne, tandis qu'une pensée juste et Belle, qui serait un peu moins bonne révélerait le manque de vertus du penseur qui la met en pratique.

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Une invocation spirituelle qui ne repose pas sur des pensées justes en vertus n’aura aucun effet positif, dans le meilleur des cas, et dans le pire, elle attirera, sur la Conscience du penseur, la réaction négative des mauvais esprits, les faces sombres tapies dans les ténèbres.

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La pensée juste en vertus, lorsqu’elle est exprimée au bon moment par une Conscience épurée de toute passion et émotion, devient une arme redoutable contre ses agresseurs. Mais elle est aussi un puissant remède contre les affections du corps éthérique, origine de toutes les affections physiques.

La pensée juste en vertus est protectrice et salvatrice, que ceux qui sont parvenus à la maîtriser, l'utilisent prioritairement lors de leur pratique du service désintéressé au profit de l'utilité commune.

Les enfants d'Hermès sont aussi les thérapeutes des âmes.

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Je ne suis plus préoccupé par le futur, depuis que je me suis fermement et totalement installé dans la continuité de l’Éternel Présent.

Je sais d’où je viens, je sais où je me trouve et pourquoi, et ce qu’il me faut faire pour retourner d’où je viens, plus riche qu’après l’avoir temporairement quitté.

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Le système des castes est un Principe universel et multidimensionnel se déclinant sur chacun des plans des trois Mondes.

- La caste des enveloppes sensorielles et émotionnelles;

- La caste des enveloppes passionnelles et intellectuelles. Elle contient la précédente

- La caste des enveloppes intuitionnelles et spirituelles. Elle contient les deux autres.

- La caste des enveloppes éthériques et du groupe des serviteurs du monde.

Cette dernière caste est la plus élevée et celle qui contient, aligne et stabilise toutes les autres.

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Le symbole est une analogie permettant à l’intuition spirituelle de découvrir et identifier les énergies occultes venant influencer une Conscience. La parfaite connaissance subjective abstraite d’un symbole, est la condition sans laquelle la Conscience ne pourra ni l’invoquer, ni la maîtriser, ni l’utiliser volontairement.

Pour que le symbole soit efficace, il faut que l’image analogique produise dans la Conscience une pensée juste de ce qu’il représente, ce qui permettra une connexion entre la Conscience et cette énergie occulte, mais la moindre déformation de cette image rend la connexion impossible et ramène le symbole à une vulgaire superstition fétichiste.

La juste compréhension analogique d'une symbole est une affaire d'initié.

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L’âme-de-vie reçoit l’immortalité en héritage spirituel, mais elle n’en prendra pleinement Conscience, et ne pourra en profiter, que lorsqu’elle sera parvenue à devenir un deva. Ce qui n’interviendra qu’après un long parcours initiatique, dont l’étape de transition, entre le mortel et l'immortel, se caractérise par une Conscience humaine accédant au service désintéressé au profit de l’utilité commune. Son plus haut niveau d'évolution avant transfiguration.

Les pouvoirs de l’immortalité ne sont pas les attributs de la nature humaine, mais uniquement ceux de la divinité retrouvée par la Conscience de l’âme-de-vie.

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Ce n’est que lorsque la Conscience est devenue capable d’aimer, dans le sens le plus noble et le plus désintéressé du terme, qu’elle finit par comprendre à quel point elle a été, et elle est aimée par la Divine Providence.

[Eléa]

Les véritables secrets 
ce dont nous avons foncièrement besoin
là où nous en sommes de notre avancée
ne peuvent nous être donnés de façon "décodée"
seul peut nous être indiqué le chemin
nous permettant de nous en rapprocher.

[Lug]

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Ce qui est reconnu comme vrai, dans le microcosme d’une incarnation, n’est qu’une pâle déclinaison de ce qui est Vrai dans le Macrocosme.

C’est en utilisant cette règle de correspondance, qu’une Conscience peut s’aventurer à explorer les champs des possibles, au-delà des limites de son intellect raisonneur, sans risquer de s’égarer ou de délirer.

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