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Monographie sur le Dharma

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Message par Lug Dim 12 Juin - 11:08

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Petit aide-mémoire sur le Dharma

Extrait tiré  du Livret d’accompagnement à la lecture du Râmâyana, par Madeleine Biardeau, édition Diane de Selliers.

« Râma (le Charmant et le Sombre), fils ainé de Dasaratha et de la reine principale Kausalyâ, est aussi l’avatar de Vishnu.

«Bien que l’incarnation de Vishnu, Râma doit cependant ignorer sa toute puissance afin de pouvoir triompher de Râvana, le râksasa qui, par une ascèse extraordinaire, a obtenu de Brahmâ le privilège d’être invulnérable aux dieux, aux démons et aux autres créatures hormis les hommes, qu’il méprise. Depuis sa naissance jusqu’à la fin du chant VI, Râma ne se sait donc pas dieu, et c’est en homme qu’il affronte toutes les vicissitudes relatées dans le poême (Râmâyana). Les attitudes qu’il manifeste et les sentiments qu’il éprouve sont liés à sa condition humaine : il s’évanouit de douleur à l’annonce de la mort de son père, il exhale son chagrin après la mort du vautour Jatâyus, il partage la douleur de son ami Sugriva ou pleure son frère Laksmana lorsqu’il le croit mort sur le champ de bataille. La souffrance que lui cause le rapt de Sitâ (son épouse) est si vive que Râma se répand en lamentations et paraît sombrer dans la folie. Son tourment amoureux est encore avivé par le spectacle de la nature au printemps ou à l’automne. Cette souffrance inhérente à l’amour vécu dans la séparation (vipralambha), longuement exprimée dans le Râmâyana, constitue un des thèmes majeurs de la poésie sanscrite. Bien humaine est l’émotion qui étreint Râma à l’idée que non seulement Sitâ lui a été ravie, mais que, en outre, la jeunesse de sa bien-aimée s’en va pendant qu’elle est loin de lui. Parfaitement humain, le Râma de l’épopée est le modèle du bon roi, qui protège ses sujets et agit toujours en accord avec le dharma.»


L’épopée de la Conscience spirituelle, épisode : l’approche du Dharma.

Chaque individu de la branche Homo sapiens est naturellement doté de trois natures spécifiques à cette forme d’incarnation. La première, celle qui le rattache à son espèce animalière (les mammifères), et la deuxième, en contingence d’être, celle qui lui permettra d’accéder à sa nature humaine. Cette dernière le préparant à retrouver son essence dévique, sa troisième nature originelle, que la Conscience ne retrouvera qu’après libération hors de ses cycles d’incarnations karmiques. Essence dévique qui ne se révèle à la Conscience de la nature humaine qu’au fur et à mesure de son élévation spirituelle, devant se faire obligatoirement en accord avec le Dharma, pour que les voiles de l’ignorance se soulèvent les uns après les autres.

Trois Mondes (Mental-Astral-Physique) dont chacun des Mondes comprends trois plans (mental-astral-physique). Chacune des trois natures humaines est reliée à chacun des Trois Mondes (Mental/Dévique, Astral/Amour-Sagesse, Physique/Intelligence active), et spécifiquement à chacun d’un des trois plans de chacun de ces Mondes (mental/spirituel, astral/émotionnel, physique/sensoriel). Chaque plan de chaque Monde correspond à un type d’état de Conscience.

La forme physique Homo sapiens, pour satisfaire aux nécessités évolutives propres à sa complexion - et correspondant aux critères d’accomplissement de son dessein final -, est donc constituée de trois enveloppes, plus ou moins charnelles, dont chacune sera en relation avec chacun des plans du Monde Physique dense, et chacun de ces plans avec l’un des plans des deux autres Mondes supérieurs. L’enveloppe corporelle sera la déclinaison densifiée, sur le plan physique dense du Monde Physique dense, et elle-même reliée aux plans physiques des Mondes Astral et Mental. L’enveloppe intellectuelle sera la déclinaison densifiée, sur le plan astral du Monde physique dense, et sera reliée aux plans astraux des Mondes Mental et Astral. L’enveloppe spirituelle sera la déclinaison densifiée, sur le plan mental du Monde physique dense, et sera reliée aux plans mentaux des Mondes Mental et Astral.

Le dessein (l’état) de la Conscience uniquement  focalisée dans l’enveloppe corporelle du corps physique dense, est de vivre selon l’apparence de sa forme et les nécessités organiques, instinctives et sensorielles de son espèce animale, ne laissant que peu d’espace au libre arbitre de son intelligence active.

Le dessein de la Conscience focalisée dans l’enveloppe intellectuelle du corps physique dense (plan astral hiérarchiquement au-dessus du plan physique dense), est de se débattre avec la puissante attraction de ses désirs, ses émotions, ses passions dans les limites étriquées de sa raison matérialiste et égotique, le tout sous la contrainte des lois de causalité structurant son patrimoine karmique. Le champ de conscience étant un peu plus étendu que dans l’enveloppe corporelle, le libre arbitre sera fonction du niveau de connaissances et de l’activation de la faculté volitive.

Le dessein de la Conscience focalisée dans l’enveloppe mentale du corps spirituel (plan mental au-dessus des plans astral et physique), est de parvenir à s'affranchir des servitudes organiques du corps physique et astreintes émotionnelles du corps intellectuel, afin de pouvoir libérer son énergie vitale, qu'elle pourra consacrer volontairement pour effectuer le travail nécessaire à sa mise en accord avec le Dharma dans le cadre du service désintéressé. Ce travail implique abnégation, compétence, rigueur, droiture, rectitude, justesse, connaissances et dévouement altruiste tant envers la Hiérarchie spirituelle, que de chacun des membres de son groupe de forme incarné.

L’accomplissement concomitant de ces trois desseins nécessitera, de la part de la Conscience, le développement de ses facultés supérieures que sont la Volonté, la Raison, la Foi, la clairvoyance, la clairaudience, l’intuition spirituelle, la mémoire et l’imagination. Ceci se traduira in fine par sa capacité à servir efficacement et discrètement son prochain, au sein de son groupe (famille organique, intellectuelle et spirituelle), sans jamais entraver les lois karmiques et le libre arbitre des bénéficiaires. Cette pratique sera l’ascèse à laquelle devra volontairement s’astreindre la Conscience qui espère parvenir au niveau (initiation) de l’état éthérique dans l’ordre souverain des choses de l’Éternel Présent.

Ce processus est celui qui est développé dans l’intégralité du poème du Râmâyana, et de la longue ascèse de Râmâ pour se mettre en accord avec le Dharma. Râmâ est la figure emblématique la plus élevée de la nature humaine la plus aboutie qui parvient, lors de l’accomplissement exemplaire de son dessein de forme sur les trois plans de son incarnation terrestre,  à redevenir le  Divin Vishnou à la fin de son épopée.

Bien que le terme  de Dharma ait été très souvent dénaturé de sa signification profonde initiale, il est possible de le résumer schématiquement de la façon suivante :

DHARMA : Dérivé de la racine « dhri » (porter, soutenir, maintenir), Dharma signifie religion, loi, mérite moral, rectitude, bonnes œuvres, code de conduite; ce qui est conforme à l’ordre, à la loi, au devoir, à la justice, dans leur plus haute acception. Cette notion, très large et complexe, est fondamentale à la pensée hindoue.

Dans le langage courant, Dharma signifie droiture, vertu et religion, se résumant en la voie qui sera propice à l'évolution spirituelle maximale dans cette incarnation ; c'est l'un des quatre buts de la vie humaine, les trois autres buts étant Kama (les plaisirs des sens), Artha (l'acquisition d'une position sociale et de biens matériels) et Moksha (la libération), ce dernier étant considéré comme le plus noble, mais impliquant l'accomplissement préalable de Dharma.  Au sens le plus large, le Dharma sera l’ordre sociocosmique des Principes et des Lois qui structurent l’existence des Trois Mondes (Mental, Astral, Physique)

Le Dharma est l’expression des Lois providentielles sur tous les plans et dans les trois Mondes, il est nécessairement parfaitement conforme au Plan multidimensionnel de l’Ordre Cosmique Divin.

Se dévouer au Dharma est donc une ascèse de rectitude morale, de probité, de fidélité à ses convictions et de pratiques spirituelles que doit exercer une Conscience incarnée dans sa forme humaine, afin de permettre, par l’élévation de sa tonalité vibratoire, de mettre en résonance chacun de ses plans avec ceux des plans et des Mondes supérieurs, ce qui implique l’acquisition et le développement de la vision multidimensionnelle des trois enveloppes corporelles. Le processus est complexe, mais son mécanisme se met progressivement en mouvement et s’harmonise  graduellement avec les plans et les Mondes supérieurs pour parvenir à une simultanéité de fonctionnement pluridimensionnelle.

Une des célèbres sentences de la Table d’Emeraude enseigne :

«Tu sépareras la terre du feu, le subtil de l’épais doucement, avec grande industrie.
Il monte de la terre au ciel, et derechef il descend en terre, et il reçoit la force des choses supérieures et inférieures. Tu auras par ce moyen la gloire de tout le monde; et pour cela toute obscurité s’enfuira de toi.»


Dans ce passage nous avons résumé, sous sa forme la plus hermétique du sens cachant, tout le travail que doit effectuer l’aspirant qui entend se mettre en accord avec le Dharma. Savoir séparer la terre du feu, le subtil de l’épais nécessite d’avoir les connaissances qui permettent de discerner ce qui revient au corps physique, au corps intellectuel et au corps spirituel. Lorsque ce discernement entre le subtil et l’épais est opérationnel - ce qui n’est pas possible sans un long travail d’étude et une volontaire mise en pratique -, alors la Conscience distingue le Penseur des pensées, ainsi que les différents types de pensées, et elle devient capable de passer intentionnellement de son enveloppe physique à son enveloppe intellectuelle ou spirituelle. Elle monte de la terre au ciel et derechef elle descend en terre pour y recevoir la force des choses supérieures et inférieurs (l’énergie vitale de l’Essence et l’énergie dynamique de la Substance).

Les idées et les sensations sont le propre du paraître qui occupe la Conscience du corps physique dense, tandis que la réflexion raisonnée objective et concrète, ainsi que les émotions et passions qui en découlent, sont le propre de la Conscience égotique du corps intellectuel (plan astral). Les pensées  subjectives et abstraites, d’inspiration intuitive, seront le propre de la Conscience occupant le point centrale de son corps spirituel (le plan mental). La distinction des différentes enveloppes corporelles, permet de mettre en évidence les différentes formes de «pensées» engendrées par différents états de Conscience. Les «pensées» du corps physique seront en rapport des effets, tandis que les pensées du corps intellectuel seront en rapport avec des causes, alors que les pensées du corps spirituelle seront en rapport avec des Principes. Si les Principes sont l’esprit des lois, qui sont les causes des effets, savoir discerner les Principes revient à connaître les lois et maitriser les effets. Se mettre en accord avec le Dharma implique donc d’élargir le champ de la Conscience jusqu’à la connaissance des Principes, tant ceux qui se rapportent aux Lois de la Divine Providence (le «Bien» qui caractérise le Fils du Mental), que ceux qui se rapportent aux lois de causalité propre à la sphère de la temporalité (le «Mal» qui caractérise le fils de la nécessité).

Les Principes du «Bien» - qui se qualifient par leur justesse,  leur homogénéité, leur universalité, leur intemporalité et leurs vertus -, véhiculent la plus grande quantité d’énergie vitale, dont la puissance redoutable est l’Essence même de la Haute Magie et des pouvoirs du Mage ; alors que les Principes du «Mal» - qui se caractérisent par leur manque de justesse,  leur hétérogénéité, leur temporalité, leur particularisme égotique, et leurs vices -, véhiculent une énergie fossile polluante   dont la puissance destructrice est la substance de la magie noire, celle du sorcier. La première énergie sera celle de la science avec conscience, celle qui se caractérise par la sagesse, et la deuxième sera celle de la science sans conscience, la plus matérialiste, asservissante et nuisible.

L’officiant qui ambitionne de retrouver son Essence dévique, en décidant d’effectuer le long et difficile pèlerinage sur le Camino de l’évolution, doit avoir constamment à l’esprit que les Principes du «Bien» et du «Mal», par décret Divin, sont par nature indestructibles, et qu’ils sont toujours en contingence d’être au sein de chaque Conscience. Se mettre en accord avec le Dharma, consiste donc à d’abord neutraliser volontairement par la pratique des vertus les Principes du mal (nettoyer les écuries d’Augias), qui, comme les maires du palais ayant usurpés les pouvoir du souverain en l’absence de sa volonté de régner, devront être remis à leur juste place, fusse au prix de cette règle alchimique : du massacre des innocents. Ensuite, une fois l’ordre hiérarchique rétabli, il conviendra de faire la plus large place aux Principes du «Bien» pour que règne à nouveau l’Ordre souverain des choses (la vision multidimensionnelle). Ceci suppose que la Conscience qui accède, grâce à son ascèse constante, à son point de focalisation dans son corps spirituel, doit aussi veiller à aligner ses corps inférieurs sur l’autorité de la plus haute hiérarchie corporelle humaine, et surtout à les maintenir en cet état d’alignement (d’obéissance) d’une façon stable et non temporairement, ou pire de façon ponctuelle et aléatoire. Le Dharma est la voie dévique, ce qu’il y a de plus élevé, de plus honorable et de plus prestigieux dans la condition humaine, et, comme le disait fort justement ce grand alchimiste de Grillot de Givry : la noblesse de l’oeuvre requiert la noblesse de l’oeuvrant.

Avec l’acquisition de ce discernement subtil entre le «Bien» (ce qui est subtil) et le «Mal» (ce qui est épais), le célèbre fruit de l’arbre de la connaissance du jardin d’Eden, la Conscience peut donc mettre en pratique l’une des premières règles de l’ascèse au Dharma : Primum non nocere, d’abord ne pas nuire. Ce Principe n’est pas qu’une formule creuse qu’il suffit de radoter pour que le pèlerin soit mécaniquement sur la bonne route. Ce radotage sans compréhension profonde serait même la meilleure voie de perdition. C’est une formule germe (un puissant Mantra) ayant un riche contenu, aux arborescences complexes et subtiles dans les trois Mondes. Il implique non pas du savoir (informations plus ou moins obsolètes, véhiculer machinalement et sans vérification de crédibilité d’une chaîne enseignants profanes à une ribambelle d’étudiants paresseux), mais de la connaissance, qui se singularise du savoir par le processus d’un enseignement reçu et que l’étudiant, après son assimilation, veillera à soumettre à l’épreuve de la mise en pratique pour en constater personnellement la crédibilité. Il ne suffira donc pas de recevoir un enseignement quel qu’il soit, sans en vérifier la justesse, ce qui est de l’ordre de la Raison, mais aussi les vertus, ce qui relève de la Foi (terme utilisé ici en tant que puissante faculté supérieure sans aucune connotation religieuse).

La Connaissance, à l’inverse du savoir, n’est pas un dû, mais une quête qui,  pour le quêteur de vérités spirituelles, se traduit par l’application d’une formule d’alchimie spirituelle qui s’énonce de la façon suivante : une pensée juste en vertus.

Une pensée peut être plus ou moins justes, sans pour autant être vertueuse. Il y a autant d’intelligence possible dans le «Mal» qu’il peut y en avoir dans le «Bien», ce qui différentie l’une de l’autre ce sont les vertus. Et si une pensée peut être juste, cela ne l’empêchera pas pour autant d’être aussi, et parfois plus, nuisible qu’une pensée injuste. Pour qu’elle ne soit pas nuisible il faut en plus qu’elle soit accompagnée de vertus, car avec une seule vertu elle n’est pas vertueuse. Une vertu seule vire inévitablement au vice. C’est pourquoi la Force, doit être accompagnée de la Justice, de la Tempérance et de la Prudence. Ceci n’est rien d’autre que l’application de la célèbre loi de Maât de l’ancienne Egypte et qui disposait : juste de pensée, juste de parole, juste d’action et trop de Maât n’est plus Maât.

Pour en revenir à notre première règle : ne pas nuire, ceci implique l’humilité de ne pas croire que la Conscience à la vaniteuse faculté de pouvoir changer l’ordre souverain des choses, surtout chez les autres, ce qui se termine invariablement par des calamités physiques, intellectuelles, spirituelles et karmiques. Mais que c’est bien l’ordre souverain des choses qui est là pour nous permettre de changer (évoluer). Ne pas nuire implique le respect du libre arbitre de celui ou ceux que nous entendons servir, et sans que cela soit contraire aux décrets karmiques propres à chaque incarnation, y compris ceux du serviteur, ce qui suppose un minimum (un maximum est fortement conseillé) de connaissances en cette matière. Ne pas nuire impose que le service rendu, outre qu’il doit se révéler utile et efficace, ne doit jamais engendrer la moindre servitude ou la moindre dépendance, qu’elles soient affectives, émotionnelles, intellectuelles, matérielles ou spirituelles. Ne pas nuire, implique  de ne pas vouloir essayer de faire boire un âne qui n’a pas soif, et de ne pas vouloir servir celui qui ne le demande pas. Ne pas nuire, implique donc compétence, dévouement désintéressement et discrétion devant aller jusqu’à l’anonymat du serviteur.

La plus grosse erreur que pourrait faire l’officiant qui entend se mettre en accord avec le Dharma, est celle qui consiste à vouloir obtenir systématiquement des résultats à chacune de ses tentatives d’épuration, d’alignement et de stabilisation, sans même parler des services qu’il se croit en mesure de rendre. Ce ne serait là que piètre négoce dissimulant les préoccupation les plus régressive d’un ego (maire du palais) cherchant à conserver son pouvoir de nuisance. La quête obsessionnelle d’un pouvoir ou d’un résultat immédiat est le plus sûr moyen de faire redescendre la Conscience du son point focal de son corps spirituel au point focal de son corps intellectuel, avec sa cohorte de désirs, émotions et passions  invalidantes. La rigueur que doit d’imposer l’officiant est celle que renferme la sentence de Confucius, à savoir : qu’au tir à l’arc, seule compte la rectitude du geste, sous entendu pas la cible. Là encore les conseils de Grillot de Givry se révèlent d’une grande pertinence au niveau des Principes et d’une grande utilité pour l’aspirant au dévouement au Dharma :

«La puissance miraculaire s'hyperconcentrera en toi lorsque tu ne la convoiteras plus, lorsque tu auras tué en toi l'ambition de la posséder.»

Rappelle-toi cette parole : «  La patience est l'échelle des Philosophes et l'humilité est la porte de leur jardin »
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Cette approche du Dharma n’est pas son début, qui est bien antérieur à l’espèce humaine, et n’est surtout sa fin, puisqu’elle se poursuivra bien après les cycles d’incarnations dans cette forme de manifestation.

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