Elan vital

Kanzi a écrit:https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU

L'élan vital ou l'art de persévérer dans son être (Spinoza)
L'être est en lutte perpétuelle contre l'avoir dont il est prisonnier.
"Je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre", disait Patrick Mc Goohan dans "Le prisonnier"
L'être est attaché au Créateur, et en tant qu'attaché détaché, il a sur les amnésiques englués dans la matière
l'avantage de connaître la fin de l'aventure sur cette planète d'hallucinés.
Comme dans "Le prisonnier" nous sommes des agents secrets vivant dans le village global pensé par les premiers terroristes :
 la "Communauté Internationnale", et nous ne lâchons rien.

People's Infinite's Need Becomes Your End  PIN BYE   Personal Idendification Number : la marque de la bête.
Le besoin d'infini du peuple devient votre fin .

Un groupe fantastique :

enerlibr a écrit:
L'élan vital ou l'art de persévérer dans son être (Spinoza)

C'est exactement ça mon enerlibr ! et c'est le sens du titre du post, autant qu'un clin d'oeil à l'actualité assez intense.
La volonté humaine est parfois si faible qu'il faut savoir ne pas lâcher...

enrelibr a écrit:"Je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre", disait Patrick Mc Goohan dans "Le prisonnier"

Tout comme il aurait pu dire : "je suis une conscience".

Peut-on dire d'un homme (ou femme s'entend) qui n'a plus d'espoir, qu'il est toujours vivant ?
Quelle différence peut-on faire entre rêve et imagination et doit-on faire la différence ?

Mon humble avis ma Kanzi est qu'il faut faire la différence entre rêve et imagination, même si cette dernière
devrait prendre le pouvoir ( mai 68) pour clore le bec des coincés du ciboulot.
Il n'est pas impossible de vivre un rêve en tant que spectateur conscient qu'il rêve, voire même de le diriger
mais il faut pour ça être dans un état mental très subtil.
C'est encore une fois la conscience qui est la clé mais quelle conscience ? Quelle clé ?
L'imagination est une fonction neuronale, elle est par définition amnésique sinon elle n'imaginerait pas,
elle n'est pas nécessairement rationnelle, elle est capable de chercher cette foutue clé - perdue, forcément -
sous une réverbère parce que là, il y a plus de lumière.
Le rêve est sans mystère - pour le rêveur, ça va sans dire - il est dans la lumière de cette conscience délocalisée qui détient toutes les clés.
 L'univers est mental.
Le message christique : redevenir comme un enfant, simple en esprit, c'est être capable de rêver. "C'est celui qui dit qui est"

"Ils ont voulu nous enterrer, ils ne savaient pas que nous étions des graines" (Proverbe mexicain)
Les révolutions germent sur le terreau des contraintes. Dans "révolution", il y a "rêve", "solution", et bien sûr "évolution".
La graine est potentiel, comme le rêve. Révérer le rêve a été le fait des surréalistes et l'est toujours des bouddhistes,
si on admet que rêver, c'est fuir une réalité invivable. Le principe du rasoir d'Ockham dit en substance que plus une chose est simple,
plus elle a de chance d'être vraie. Il s'avère que le rêve est vrai et que l'imagination est une aristocrate qui le relit maladroitement.

enerlibr a écrit:Mon humble avis ma Kanzi est qu'il faut faire la différence entre rêve et imagination, même si cette dernière
devrait prendre le pouvoir ( mai 68) pour clore le bec des coincés du ciboulot.
Il n'est pas impossible de vivre un rêve en tant que spectateur conscient qu'il rêve, voire même de le diriger
mais il faut pour ça être dans un état mental très subtil.
C'est encore une fois la conscience qui est la clé mais quelle conscience ? Quelle clé ?
L'imagination est une fonction neuronale, elle est par définition amnésique sinon elle n'imaginerait pas,
elle n'est pas nécessairement rationnelle, elle est capable de chercher cette foutue clé - perdue, forcément -
sous une réverbère parce que là, il y a plus de lumière.
Le rêve est sans mystère - pour le rêveur, ça va sans dire - il est dans la lumière de cette conscience délocalisée qui détient toutes les clés.
 L'univers est mental.
Le message christique : redevenir comme un enfant, simple en esprit, c'est être capable de rêver. "C'est celui qui dit qui est"

"Ils ont voulu nous enterrer, ils ne savaient pas que nous étions des graines" (Proverbe mexicain)
Les révolutions germent sur le terreau des contraintes. Dans "révolution", il y a "rêve", "solution", et bien sûr "évolution".
La graine est potentiel, comme le rêve. Révérer le rêve a été le fait des surréalistes et l'est toujours des bouddhistes,
si on admet que rêver, c'est fuir une réalité invivable. Le principe du rasoir d'Ockham dit en substance que plus une chose est simple,
plus elle a de chance d'être vraie. Il s'avère que le rêve est vrai et que l'imagination est une aristocrate qui le relit maladroitement.

Excellent et puissant ce proverbe ! Alors : Viva la révoluzion !!! Révolution en soi-même et par soi-même s'entend, dans ce cycle de vie et de mort.
Ne sachant pas tout pour cause de manque de connexion avec pas mal de neurones, j'imagine alors que tout à sa raison d'être y compris le rêve dont la fonction est peut-être de nous réveiller, nous alerter et nous pousser plus avant dans les arcanes de notre inconscient en vue de sortir de cet état hypnotique. Et puis c'est vrai il y a le rêve du celui qui fuit la réalité et qui se recrée un monde imaginaire. Donc pas si éloigné que ça l'un de l'autre me semble t'il. Mais bon si tout est mental il est vrai aussi que tout est double. L'imaginaire peut servir à se représenter des choses abstraites, comme il peut perdre celui qui fuit sa réalité ou la réalité ambiante.
Merci mon Enerlibr.